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Découvrez les normes LMS et LRS

Découvrez les normes LMS et LRS

Il existe plusieurs raisons pour lesquelles vous avez recherché des informations sur les normes des plateformes d’apprentissage en ligne (ou LMS) ou des Learning Record Store (ou LRS). Peut-être vouliez-vous vous assurer que le module que vous venez de créer fonctionnera avec un LMS ou un LRS précis. Ou peut-être avez-vous croisé des termes énigmatiques (C’est quoi le cmi5 exactement ?) et souhaitez une explication facile à comprendre.

Peu importe ce qui vous a amené ici, vous êtes au bon endroit. Cet article a pour but de vous donner un aperçu clair des normes LMS/LRS et de leur importance. En cours de route, nous vous présenterons quelques acronymes (en particulier AICC, SCORM, xAPI et cmi5) et nous vous donnerons également une petite leçon d’histoire.

Vous êtes prêt ? Allons-y !

Quels sont les standards LMS/LRS et pourquoi en avons-nous besoin ?

Les organisations utilisent les LMS et les LRS principalement pour savoir si les apprenants ont terminé les modules et quels sont leurs résultats aux quiz. Comme vous pouvez l’imaginer, il existe de nombreuses façons d’échanger des données entre systèmes numériques. Sans un processus préalablement défini, votre module pourrait partager des données d’une manière incompréhensible pour votre LMS ou votre LRS. C’est là qu’interviennent les normes LMS/LRS.

Chaque norme (AICC, SCORM, xAPI et cmi5) est essentiellement un langage commun pour communiquer avec un LMS ou un LRS. Avoir des normes garantit que, quels que soient l’application de création et le LMS/LRS que vous utilisez, les informations peuvent être partagées sans problème ni codage compliqué.

Si vous utilisez une solution de diffusion légère intégrée à votre application de création (comme Reach 360 avec Storyline 360 et Rise 360), vous n’avez pas à vous inquiéter car tout fonctionne déjà harmonieusement de manière transparente. (Si vous êtes déjà abonné à Articulate 360 et que vous souhaitez essayer Reach 360 par vous-même, demandez un essai ici. Et si vous êtes nouveau sur Articulate 360 et Reach 360 et que vous cherchez un moyen simple de créer et de dispenser des formations, démarrez un essai gratuit des deux ici.)

Cependant, si vous utilisez un LMS/LRS, vous devez savoir avec quelle norme publier. Pour le e-learning, il existe quatre normes courantes : AICC, SCORM, xAPI et cmi5. Examinons chacune de plus près.

AICC

La norme e-learning la plus ancienne, AICC a été créée en 1988 par le comité de formation informatisée de l’industrie aéronautique, pour garantir que la formation aéronautique puisse être conçue, dispensée et évaluée sur diverses plateformes de formation informatisées. Plus tard, les spécifications de la norme AICC ont été utilisées et sont devenues populaires en dehors de l’industrie aéronautique.

Le comité AICC a été dissous en 2014 en raison du déclin du nombre de membres et de la montée en puissance d’autres normes e-learning. Bien que la norme AICC n’évolue plus, il est encore assez courant que les applications de création et les plateformes d’hébergement soient conformes à l’AICC. De nombreuses organisations disposent d’un contenu de formation qui a été initialement publié avec AICC. Elles recherchent donc des plateformes LMS qui leur permettent d’héberger ce contenu et des applications de création qui leur permettent de garder ce contenu à jour.

Avant la dissolution de l’AICC, le comité a commencé à travailler sur une nouvelle norme appelée cmi5, dont je vais parler plus tard dans cet article.

SCORM

SCORM a été publié en 2001. Même si cette norme n’est pas récente, elle est toujours utilisée dans le secteur et elle spécifie comment regrouper le contenu des modules afin que les LMS puissent le reconnaître et en extraire des informations sur l’activité des apprenants. La norme SCORM a permis une large adoption du e-learning.

Cependant, comme nous l’avons vu avec l’AICC, les normes doivent évoluer en permanence pour s’adapter au paysage en constante évolution de la technologie moderne, comme le cloud computing et les appareils mobiles. Bien que SCORM précise comment les modules et les LMS doivent communiquer, il le fait d’une manière un peu obsolète.

Une autre plainte courante concernant SCORM est qu’il ne suit qu’une quantité limitée d’informations sur l’activité de l’apprenant, comme l’achèvement, la notation et les interactions avec les quiz. Si les auteurs souhaitent suivre des informations plus détaillées sur l’expérience de l’apprenant, comme les liens sur lesquels les apprenants ont cliqué ou s’ils ont tendance à rester bloqués dans une partie spécifique du module, ils ne le peuvent pas. Ce sont ces limitations qui ont donné lieu à la création de xAPI.

Pour aller plus loin : une brève introduction à SCORM

xAPI 

Lorsque xAPI est sorti en 2013, beaucoup l’ont présenté comme un remplaçant de SCORM. Contrairement à SCORM, qui suit uniquement la manière dont les apprenants interagissent avec les modules sur un LMS, xAPI suit un plus large éventail d’activités et d’expériences d’apprentissage sur une grande variété de plateformes : des applications mobiles, des jeux vidéo et des simulateurs de formation en réalité virtuelle ou en réalité augmentée jusqu’aux logiciels d’entreprise comme les applications de gestion des talents ou les help desk (applications d’assistance), à l’aide d’un LRS.

En théorie, cela permet aux professionnels du e-learning de suivre presque tout, n’importe où, ouvrant ainsi de nombreuses possibilités de collecte et d’analyse de données plus significatives et plus orientées vers les performances.

Cependant, en pratique, cela peut être compliqué à mettre en œuvre, puisqu’il faut définir manuellement tout ce que l’on souhaite suivre et comment. Sans oublier que très peu de systèmes en dehors du secteur de l’apprentissage et du développement (L&D) ont adopté cette norme ou en ont même connaissance, de sorte que les possibilités de suivi ne sont pas aussi étendues qu’on pourrait le penser.

Pour aller plus loin : une introduction à xAPI 

cmi5

Cmi5 est la norme d’apprentissage en ligne la plus récente, publiée par l’ADL (lien en anglais) après la dissolution de l’AICC.

Pour créer cmi5, ils ont essentiellement utilisé xAPI et ajouté des règles spécifiques au contenu e-learning pour faciliter la mise en place par les auteurs de modules. En bref, comme xAPI, cmi5 suit et enregistre les expériences d’apprentissage où et quand elles se produisent : les créateurs de modules n’ont tout simplement pas besoin de faire autant de manipulations pour que cela fonctionne. Pour cette raison, de nombreux professionnels du e-learning le présentent comme l’option privilégiée pour le suivi, le qualifiant de meilleur des deux mondes.

Pour aller plus loin

Tout cela ressemble un peu à une version Apprentissage et développement (L&D) de Boucle d’or et les trois ours ? Si AICC est obsolète, SCORM trop limité et xAPI trop compliqué, cela signifie-t-il que la norme cmi5 est parfaite ?

Au cas où vous soyez un peu perdu, voici un tableau qui récapitule les cas d’utilisation de base pour chacune des quatre normes :

Norme LMS ou LRS ? Cas d’utilisation
AICC LMS Modules e-learning existants avec des besoins de suivi de base tels que l’achèvement, la notation et les interactions avec les quiz.
SCORM LMS Modules e-learning qui ne nécessitent pas de suivi au-delà de l’achèvement, de la notation et des interactions avec les quiz.
xAPI LMS et LRS  Des expériences d’apprentissage qui vont plus loin que les modules e-learning et nécessitent un suivi très détaillé et personnalisé, via un LRS.

Notez que xAPI a été conçu pour enregistrer des expériences générales, avec un léger accent sur le contenu e-learning.

cmi5 LMS Des expériences d’apprentissage qui vont plus loin que les modules e-learning et nécessitent un suivi très détaillé et personnalisé, via un LRS.

A noter que cmi5 inclut des fonctions spéciales spécifiquement adaptées aux contenus e-learning.

 

Je ne sais pas pour vous, mais personnellement, je suis rassurée de savoir que les normes ont régulièrement évolué. Depuis près de trente ans, les professionnels du secteur de l’apprentissage et du développement (L&D) travaillent pour créer des normes qui donnent aux concepteurs les outils dont ils ont besoin pour aider leurs organisations à suivre le rythme des apprenants d’aujourd’hui.

Vous souhaitez en savoir encore plus sur les plateformes qui utilisent ces standards ? Voici quelques ressources à consulter :

Et si vous avez du mal à former certains groupes d’apprenants avec votre LMS (comme des sous-traitants, des partenaires, des franchisés ou des travailleurs sans bureau attitré), essayez Reach 360, un module complémentaire premium d’Articulate 360 qui vous permet de distribuer rapidement vos modules e-learning à davantage d’apprenants.

Community Manager International chez Articulate et experte e-learning passionnée possédant des années d’expérience dans la création de modules e-learning efficaces.

18 commentaires

  1. chris ll y a 6 ans

    merci pour cet eclairage!!
    il est vrai que scorm est une norme tres contraignante que meme des specialiste du developpement d application et de html5 on du mal a comprendre et a integrer lorsqu ils ne viennent pas du milieu du e learning. un bel avenir encore pour les logiciels auteurs ! 😉

  2. Sylvain ll y a 6 ans

    Bonjour et très intéressant article sur les normes LMS et leur intérêt,

    Travaillant sur un projet de LMS avec un client s’étant doté de licences Articulate Storyline 3, je m’interroge actuellement sur les efforts que mettent les éditeurs d’outil-auteur à respecter ces normes.

    Pour exemple, mon client a réalisé deux premiers modules avec Articulate Storyline 3, selon sa compréhension de l’outil, et content de la simplicité à réaliser ses séquences interactives avec cette solution très graphique. Nous avons retenu ensemble le LMS Chamilo pour monter un prototype de plateforme, et lorsqu’il a fallu intégrer les exports SCORM 1.2 de ces 2 modules, le LMS n’a pas su les intégrer pour le suivi des parcours.

    D’autres essais avec d’autres sources SCORM 1.2 (Non articulate) ont permis de vérifier que Chamilo avait été correctement déployé.
    D’autres essais d’autres sources encore SCORM 1.2 (Non articulate) ont révélé que d’autres outils-auteurs pouvaient aussi produire dans ce format des modules non compatibles avec le LMS.
    Et sans m’étendre sur tous ces essais, l’import de modules Articulate au format SCORM 1.2 dans d’autres outils-auteurs, comme MOS-Solo pour ne citer que le plus populaire des libres, a abouti à des messages plus catégoriques « Format de données SCORM invalides ».

    Loin de chercher une assistance technique à travers ce commentaire, je m’interroge surtout sur l’intérêt réel qu’ont les éditeurs d’outils-auteurs à respecter les normes LMS… n’ont-ils pas plus d’intérêt à produire des formats compatibles avec leur propre solution LMS ou celle de partenaires ?

    S’il y a d’autres points de vue sur cette question des normes…

    Je vais pour ma part continuer de creuser entre un LMS et un outil-auteur qui offrent une compatibilité évidente, tout en satisfaisant les concepteurs de formation !

    Bien à vous,
    Sylvain

    • Auteur
      Allison LaMotte ll y a 6 ans

      Bonjour Sylvain,

      Je comprends pourquoi vous êtes arrivé à la conclusion que le problème vient du module après l’avoir testé sur deux LMS différent, mais la réalité est que beaucoup de LMS se disent compatible SCORM, mais ils ne le sont pas vraiment. Ils ont créé leur LMS pour fonctionner avec les publications des outils auteurs les plus courants. Mais du coup, s’il y a des nouveaux outils ou des mises à jours, ces formats peuvent changer. Et même si ces formats sont peut être, eux, compatible SCORM, ces LMS ne peuvent donc plus les lire.

      Bref, je vous conseille de tester ces modules sur SCORM cloud pour avoir le coeur net sur l’origine du problème. C’est le standard en LMS aujourd’hui donc on l’utilise pour déterminer si le problème vient du module ou du LMS.

      Voici le lien pour créer un compte gratuitement : https://cloud.scorm.com/sc/guest/SignUpForm

      Et voici un article (en anglais) qui explique la procédure à suivre pour tester le module : https://community.articulate.com/articles/how-to-troubleshoot-your-lms-with-scorm-cloud

      En gros, si le module fonctionne sans problème sur SCORM Cloud, le problème vient du LMS. Si le module rencontre le même problème sur SCORM Cloud que sur Syfadis, le problème vient du module.

      Si le problème vient du module, il faudrait envoyer les fichiers sources et à notre équipe de support en leur expliquant le problème pour qu’ils puissent vous aider à le résoudre. Si le problème vient du LMS, il faudrait contacter votre fournisseur LMS pour essayer de le résoudre.

      J’espère que ça répond à votre question ! N’hésitez pas à revenir vers moi si besoin.

    • Rudy ll y a 6 ans

      Bonjour Sylvain, je rebondis sur le sujet de Allison fort intéressant et qui nous intéresse au plus au point en tant que développeurs principaux de Chamilo LMS et fournisseur officiel. Au niveau des version Scorm, Chamilo supporte très bien Scorm 1.2 mais pas la version 2004, mais il y a peu de différences entre les deux et nous préconisons l’utilisation de la 1.2. Nous espérons bientôt intégrer le format xAPI mais vous le savez Chamilo est un LMS OpenSource gratuit et nous contribuons à son développement en reversant une partie des bénéfices engendrés par nos activités de services (hébergement, support technique, développement spécifique à la demande, personnalisation, optimisation…) donc c’est un petit peu plus lent (mais qualitativement ce sera nettement plus adapté et performant que sur une solution propriétaire…) au niveau du financement et du développement, sauf si une organisation souhaite financer ce développement et en faire bénéficier la communauté d’utilisateurs…Vous pouvez donc si vous le souhaitez me contacter (rudy.willems@beeznest.com) pour me soumettre les problèmes que vous rencontrez avec votre portail Chamilo et je pourrais m’entretenir avec notre chef de projet à ce sujet pour vous proposer les solutions adéquates. Bonne continuation avec votre projet. (https://beeznest.com/fr)

  3. Catherine ll y a 6 ans

    Merci Allison, ce nouvel article que tu nous adresses va intéresser beaucoup d’autres curieux sur la question, c’est sûr. Déjà 5 commentaires en deux jours. En plus de tes éclairages techniques et fonctionnels, j’ai beaucoup apprécié la mise en contexte du début et aussi, à la fin, ton clin d’œil aux prédécesseurs « Pendant près de trente ans, les spécialistes et les théoriciens de la formation ont travaillé dur pour créer et adapter des normes et fournir les bons outils aux développeurs ». Cette mise en relief donnera à réfléchir. Oui, n’oublions pas les anciens.
    Quant à la question de la compatibilité (qui ne connaît pas l’éternel estampille « compatible SCORM » ?), c’est là que de l’encre reste à verser, quelle que soit la norme, pour éviter les écueils. Je suis impatiente de voir les prochains commentaires et reviendrait participer si je peux aider. Mais les avis des développeurs sont les plus attendus. Oyez, oyez !
    Meilleurs vœux pour 2018.💃🕺🤔

    • Catherine ll y a 6 ans

      ERRATA : lire « l’éternelle mention » (à la place de « l’éternelle estampille »). ☺

      • Auteur
        Allison LaMotte ll y a 6 ans

        Merci pour ce commentaire, Catherine ! Et bonne année à vous également 🙂

  4. Sylvain ll y a 6 ans

    Merci à toutes (et à tous) pour ces précisions techniques et ces éclaircissements sur la démarche à avoir. Je vais de ce pas « benchmarker » nos modules sauce SCORM avec le cloud référent en la matière… pour faire la lumière sur cette affaire (et le cas échéant ennuyer le support Articulate avec nos ennuis). Je ne manquerai pas non plus d’entrer en contact avec l’équipe Chamilo Beeznest en avançant dans la mise en place du serveur.

    Loin de moi l’idée de jeter le discrédit sur les éditeurs propriétaires… et de leur prêter des intentions fourbes et mercantiles. Selon l’avis que je me faisais du monde des LMS et outils auteurs, c’est qu’il était à destination d’utilisateurs loin des préoccupations des développeurs et autres administrateurs techniques, et que la norme (sans être une divinité, ni un frein aux évolutions des formats) garantissait un tronc commun de communication des propriétés au fil du temps (autrement dit une compatibilité ascendante)… ainsi si un vieux LMS sans mise à jour récente essayait d’intégrer des modules fraîchement sortis d’un outil auteur plein de fonctionnalités avancées, il ne pourrait en décrypter qu’un faible contenu mais ne resterait pas sur le carreau !

    Bouh, fort heureusement ce monde de compatibilités reste la chasse gardée des professionnels de l’informatique.

    A très bientôt,

    • Auteur
      Allison LaMotte ll y a 6 ans

      Bonjour Sylvain,
      Oui, effet le but de ces normes est de garantir la compatabilité mais malheureusement certains éditeurs disent les respecter, alors que non. :/ Et bien souvent, le client ne se rend compte de ça qu’une fois que c’est trop tard.

      Tenez-nous au courant de votre benchmarking ! 🙂 Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas.

  5. Catherine ll y a 3 mois

    Quelle bonne idée, Allison… de nous avoir conseillé de tester notre module sur SCORM cloud (+ liens) pour déterminer d’où vient le problème d’incompatibilité. Cette manip peut éviter des réelles pertes de temps et d’énergie.

    Aussi, n’y a-t-il pas désormais une obligation de mises à jour automatisées de SCORM dans les dispositifs, que ceux-ci soient du côté LMS ou du côté outils auteurs ? Un standard sous-entend une certification, non ?

    Bonnes fêtes de fin d’année à tous !

    • L’équipe Articulate ll y a 2 mois

      Bonjour Catherine,
      Effectivement Scorm Cloud permet de faire des tests en dehors de la plateforme LMS.
      Vous évoquez des mises à jour automatisées, de quoi s’agit-il ? Le standard Scorm n’est plus mis à jour depuis 2009. Bonne journée !

  6. Catherine ll y a 3 mois

    Je me demandais aussi si SCORM ne s’était pas un peu aligné, avec le temps, sur xAPI et cmi5 en matière de détection de suivi… au moins pour ce qui est des retours d’appareils mobiles et de l’expérience de l’apprentissage.

    SCORM s’est quand même adapté à la technologie moderne du cloud computing, non ? SCORM Cloud s’appelle Cloud.

    Quoi qu’il en soit, nombreux sont les modules de formation en ligne qui n’ont besoin que d’être formatifs (non sommatifs, ou presque). Si le module est captivant, engageant et pédagogiquement bien conçu, l’apprenant intègre le contenu en se l’appropriant et en construisant son expérience à lui.

    🍀💻📲🌱🖥️🌾

    • L’équipe Articulate ll y a 2 mois

      Bonjour Catherine,
      Merci pour votre contribution à cet article.
      Scorm Cloud est le nom d’un produit commercial, il n’y a pas de lien directement entre le standard Scorm et les technologies du cloud.
      Bonne journée !

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